Cyclisme

Moi j'adore l vélo, surtout le tour de france
Mon préféré c'était ullrich, j'adorais la t-mobile lors de la grande époque (il y a 2-3 ans quoi), j'adorais kloden (normal, il était a la t-mobile), je suis d'ailleurs a fond pour lui cette année, mais je comprends pas qu'on mette un type comme kloden qui a gagné le tour l'année dernière (landis et pereiro étaient dopés mais c'est pas encore officiel) comme coéquipier de vinokourov, que j'aime bien, mais qui est beaucoup moins fort que son collègue allemand, enfin, espérons que le directeur dportif d'astana retrouve la raison

Valverde je suis entièrement d'accord avec toi, il fait tout, le sprint, c'est un grimpeur et aussi un bon rouleur
Par contre le petit cavendish, soit-disant LE futur très grand sprinter, on l'a pas trop
Quel finish de cancellara cet aprem, je l'aime pas trop mais faut admettre que résister au peloton pendant plus de 500 mètres, c'est extraordinaire
Pour pereiro, j suis pas d'accord avec, pour moi, si il a tenu l'année dernière (si on compte pas qu'il s'est dopé), c'est juste au moral, il a pas le niveau
Si il avait été 25ème avant la montagne, on en aurait jamais entendu parler de lui
Pour davis, je connais pas, en fait je suis pas trop les autres courses, je suis surtout le tour de france
McEwen, j'ai une canette de lui
J'étais allé au mont ventoux (d'ailleurs, c'était virenque qui avait gagné ce jour la, devant botcharov, et Armstrong), il m'a balancé sa canette^^
Mais je l'aime pas trop, j'adorais le zabel d'il y a 3-4 ans mais maintenant, il est cuit, et puis dans son équipe, il y a personne pour l'aider
D'ailleurs c'était lui qui avait provoqué la chute hier

Mais maintenant c'est le maillto qui fait le coureur???^^
Oué c'est vrai, j'étais degouté pour les sprinters, mais la cavendish a fait de la merde aussi, 9 ème je crois, et pourtant, il est pas tombé

Il est vieux au fait l'australien non ??

Ok, mais moi ça m'étonne de voir des gars de plus en plus jeunes (cavendish, le français dans l'échapée d'aujourd'hui, de la francaise des jeux...), d'habitude, il ont pas moins de 24 ans les coureurs

moi je dirai hincapie ,lepheimer ou gusez vainqueur voir millar

Oué, espérons que moreau réitère sa performance du truc qu'il avait gagné il y a 2-3 semaines, je sais plus ce que c'est (pas le championnat de france)

Moi je dis qu'aucun des quatres que t'as dit ne finira dans les 5 premiers jp

bah pour l'instant millar est troisiéme
hincapie 4éme
gusev 6éme

pour l'instant, millar risque meme pas d'etre danss les 50 premeiers, c'est pas un grimpeur, gusev, on peut lui laisser le temps de s'aguerrir, il est encore trop jeune pour espérer quelque chose, hincapie, c'est pas un leader et ça le sera jamais
Regarde heras, qui paraissait très très à l'aise en montagne pour amener armstrong il y a 3 ans, depuis qu'il s'est mis a son compte, en tant que leader, il vaut pas un clou

Tu veux parler d'un grimpeur, pour ton jeune prometteur ??

Kieran a écrit:

pour l'instant, millar risque meme pas d'etre danss les 50 premeiers, c'est pas un grimpeur, gusev, on peut lui laisser le temps de s'aguerrir, il est encore trop jeune pour espérer quelque chose, hincapie, c'est pas un leader et ça le sera jamais
Regarde heras, qui paraissait très très à l'aise en montagne pour amener armstrong il y a 3 ans, depuis qu'il s'est mis a son compte, en tant que leader, il vaut pas un clou

on va bien voir

oui j parlais d'un grimpeur

ok, je tiens les paris

Par contre je vois pas qui est ton jeune prometteur

La 11e étape du Tour de France courue jeudi entre Marseille et Montpellier s'est révélée être un véritable calvaire pour Christophe Moreau. Victime d'une chute, avant de se retrouver piégé dans une cassure provoquée par l'équipe Astana de Vinokourov et Klöden, le champion de France a concédé 3'20'' sur tous les favoris et perdu beaucoup de ses illusions pour le classement général. L'étape quant à elle a été remportée par Robert Hunter, lequel a profité d'un sprint tronqué pour offrir à l'Afrique du Sud sa première victoire sur la Grande Boucle.

Journée galère pour le leader de la formation AG2R ici à l'arrivée à Montpellier.Journée galère pour le leader de la formation AG2R ici à l'arrivée à Montpellier.
Si le Tour de France se gagne généralement en montagne, il peut se perdre partout. Christophe Moreau l'a appris à ses dépens, jeudi, entre Marseille et Montpellier. Etape de transition par excellence, la 11e levée de la 94e édition de la Grande Boucle aura coûté très cher au champion de France, 6e du classement général en quittant la cité phocéenne ce matin, et qui se retrouve 14e au soir de celle-ci après avoir vécu un véritable cauchemar sur son vélo. Sous la canicule du Sud de la France, le "Grand" commençait mal sa journée en se retrouvant à terre en compagnie de son coéquipier Simon Gerrans après avoir été heurté par l'Ukrainien Andreï Grivko, peu après le sprint intermédiaire de La-Fare-les-Oliviers situé une trentaine de kilomètres après le départ.

Si le porteur du maillot bleu-blanc-rouge se relevait vite, il portait de suite les stigmates de son gadin avec le haut de son cuissard déchiré au niveau de la cuisse gauche. Une chute vraiment malvenue car les coureurs du peloton avaient décidé de ne pas musarder sous le chaud cagnard des Bouches-du-Rhône, du Gard, puis de l'Hérault. Ainsi, dès les premiers coups de pédale, les offensives s'étaient multipliées, mais à chaque fois le peloton avait réagi, sous l'impulsion de l'équipe Rabobank du leader Michael Rasmussen, soucieuse de ne pas laisser se développer une échappée fleuve comprenant des coureurs dangereux. Ainsi, un groupe de neuf, composé notamment des Français Sylvain Chavanel, Pierrick Fedrigo et Benoît Vaugrenard, ne put jamais causer un écart conséquent du fait de la présence de David Arroyo (19e au général à 7'33'' de Rasmussen) et Kanstantsin Siutsou (24e à 9').

Kilomètre 116: Astana "met en route"

Cette course hyper nerveuse ne faisait donc pas les affaires de Moreau, lequel était néanmoins parvenu à revenir assez rapidement sur le peloton après sa chute. Un peloton qui s'était lui regroupé une première fois avant de voir naître une nouvelle offensive de quatre coureurs à l'initiative de Fabian Wegmann, emmenant dans sa roue Philippe Gilbert, Xavier Florencio et Dimitri Fofonov. Bientôt, le groupe se renforçait d'une unité quand David Millar, parti en contre, rentrait sur les échappés à l'entrée d'Arles. Aucun des fuyards ne présentant le moindre danger au général, le peloton laissait filer les cinq hommes qui prenaient sans forcer une marge confortable frôlant les 7 minutes à 75 kilomètres du chef-lieu de l'Hérault.

Profitant de l'accalmie au sein du peloton, Moreau se laissait descendre jusqu'à la voiture médicale pour se faire poser une compresse. Restant en queue de peloton pour changer de chaussures, le Belfortain se trouvait en position dangereuse tant les routes de Camargue, découvertes et balayées par le vent, présentaient les caractéristiques adéquates pour que se forment des bordures. L'équipe Astana ne le savait que trop bien, et au kilomètre 116 de l'étape, à Saint-Gilles, peu après le ravitaillement, les coéquipiers d'Alexandre Vinokourov et Andreas Klöden décidèrent de passer à l'offensive. Placés en tête du peloton, les hommes de la formation kazakhe, Vino y compris, se mettaient dans le rouge dans le but de provoquer quelques coups de bordure. Un coup finement joué, la tactique se révélant payante avec un peloton qui se scindait en trois parties. Si les principaux favoris du Tour se trouvaient aux avant-postes au moment de l'accélération, un manquait à l'appel et pas des moindres: Moreau.

Moreau: "Au bord de la rupture psychologique"

Entouré de ses coéquipiers Stéphane Goubert, José Luis Arrieta et Martin Elmiger, mais pas de Sylvain Calzati en revanche puisque le vainqueur à Lorient sur la Grande Boucle l'an dernier avait été contraint à l'abandon en début d'étape (en raison d'une inflammation du talon d'Achille), le champion national perdait toutefois beaucoup de temps sur un peloton emmené pas les seuls Astana. L'écart grimpait même jusqu'à 1'30'' avant que Vinokourov, agacé par le fait qu'aucune équipe ne collabore, n'ordonne à ses hommes d'un signe de la main de couper leur effort. Une aubaine croyait-on pour Moreau. Avant que les équipes Quick-Step, en vue de la victoire d'étape avec Tom Boonen, mais aussi Saunier Duval et Caisse d'Epargne n'apportent enfin leur soutien.

Robert Hunter a offert à l'Afrique du Sud sa première sur le Tour.Robert Hunter a offert à l'Afrique du Sud sa première sur le Tour.
A la vitesse à laquelle avançait le peloton, Wegmann, Millar, Florencio, Fofonov et Gilbert ne pouvaient guère résister et étaient avalés à 50 kilomètres de l'arrivée. Et derrière, l'écart entre le groupe maillot jaune et le groupe Maureau ne cessait d'augmenter pour finalement s'élever à 3'20'' sur la ligne d'arrivée. Un débours considérable pour le champion de France dans l'optique d'un podium à Paris. "C'était une journée noire, confiait le coureur AG2R au micro de France Télévisions. "Les copains m'ont bien aidé mais ça a vraiment été difficile. J'ai été au bord de la rupture psychologique." Marqué, le Belfortain, désormais à 6'38'' de Rasmussen, mais surtout à trois minutes de garçons comme Andreas Klöden, Alejandro Valverde et Cadel Evans, s'il pourra peut-être se refaire dans les Pyrénées, a presque perdu tous ses espoirs de terminer sur le podium à Paris.

A Montpellier, c'est Robert Hunter qui est monté sur le podium lors du protocole officiel récompensant le vainqueur d'étape. Le sprinter de Barloworld a profité de circonstances particulières pour remporter la plus belle victoire de sa carrière. Alors que les équipes de sprinters étaient en train de "mettre en route", une chute envoyant notamment le maillot vert Boonen à terre dans le dernier kilomètre, a permis à une dizaine d'hommes de se retrouver seuls devant pour jouer la gagne. Une occasion que ne manquait pas de saisir Hunter, finisseur reconnu, qui réglait... Fabian Cancellara et le Brésilien Murillo Fischer pour offrir à l'Afrique du Sud sa première victoire sur la Grande Boucle. Tout cela bien avant que le grand perdant du jour, Moreau, ne coupe la ligne, le moral dans les chaussettes.

waouh le texte de ouf ^^ attend je lis

Il n'y a pas assez de faute pour que ça soit toi qui l'ai écrit jp^^

^^